vendredi, décembre 30, 2005

Corps Malade, Esprit Malade

Aujourd'hui, il a neigé toute l'après-midi, une petite tempête de neige en bas de ma demeure, je devais faire quelques courses, mais, les transports en commun étaient bloqués, je me suis donc résolu à faire ce dont j'ai toujours rêvé, et dans la contrée où j'habite rare sont ces occasions : Faire un bonhomme de neige...

Il me restait quelques carottes, j'ai pris la plus pourrie, puis, j'ai commencé à rouler mes petites boules qui sont ensuite devenues plus grosses...

Bon à la fin, j'avais un très joli bonhomme de neige, je l'ai regardé, je l'ai contemplé, puis, j'ai commencé à sautiller autour de lui, en lui lâchant quelques injures que je ne préférerai pas citer de peur de choquer quelques âmes sensibles, et j'ai commencé à frapper, et, à démolir mon oeuvre. Je peux vous dire que ça défoule, et que, chaque être humain à besoin de ce défoulement, tout garder pour soit, dans notre corps, n'est pas une bonne idée, il faut parfois nous aérer l'esprit que ça soit en communiquant, en criant, en pleurant, en détruisant ou en élaborant...

Malheureusement, durant cette petite période de défoulement (courte mais très efficace), j'avais chaud et je me suis donc déshabillé. J'étais en caleçon, le bonhomme de neige étant réduit en poussière, et, moi, le contemplant content de ma victoire. Il y avait de la neige intacte non loin de là, et, j'ai décidé de me rafraîchir les idées. Je plonge dans cette neige vierge et je me roule dedans. Cela n'a pas duré plus de quelques minutes, le froid commençant à se faire ressentir...

Et maintenant, je dois en subir les conséquences, mais, j'assume pleinement, parfois les gens ont peur d'agir à cause des conséquences, mais, je peux vous dire que ballocher à moitié nu dans la neige est un moment magique que l'on ne regrette pas. Même si maintenant, un énorme mal de tête m'a atteint, et que je tremble de froid emmitouflé dans mes couvertures, fatigué de cette rude journée...

Ainsi, je pense que je vais me prendre une bonne nuit de sommeil pour récupérer et pour rêver de cette journée exceptionnelle...

A savoir que durant quelques jours, par le nouvel an, je ne risque pas d'écrire de nouveaux messages, c'est-à-dire pendant le week-end et peut-être un peu plus...

Je sais que vous allez être déçu de ne pas me retrouver demain (et après-demain), je le conçois bien, et, c'est pour cela que malgrè ma fatigue et mon état maladif, j'ai tout de même pris le courage de vous écrire ces quelques mots...

En espérant que vous vous souviendrez de ce nouvel an, qu'il soit un moment merveilleux ou désastreux...

jeudi, décembre 29, 2005

On The Road

Lorsque je vois des images, des photos ou même des vidéos de champignons atomiques, j'ai un petit sourire, je trouve cela très beau, même, magnifique. Souvent on me reprend et on me dit "Mais tu es dingue de trouver ça beau, tu ne t'imagines pas les conséquences de ces armes dévastatrices", je ne réponds rien, car, je sais qu'il vont rester sur leur idée et que donc mes arguments leurs seront totalement vains et inutiles, j'acquiesce d'un petit signe de tête (sans doute que cela les réconforte de ne pas avoir des idées différentes des leurs), mais en moi-même, je me dis que je me fous du contexte et des conséquences que cela amène, moi, je vois ce genre d'images et je trouve cela tout simplement beau, je pourrai en admirer pendant des heures. Il en est de même pour d'autres choses, que ce soit des tempêtes dévastant une ville, des tremblements de terre, des tours en feu s'écroulant suite à l'impact d'un avion ou même le signe nazi. Le problème est que la majorité des personnes se rattachent à un contexte et ne prennent pas l'image en elle-même : la croix gammée n'a pas été inventé par Hitler...

L'Homme, en général, entre (approximativement) 18 et 70 ans, se casse trop la tête. Avant 18 ans nous ne nous préoccupons pas énormément de notre monde, des significations, de la vie. Après 70 ans, nous perdons la raison, et ne faisons plus attention à notre monde. Je parle de manière générale, ne venez pas me ressortir les quelques cas qui font exception à la règle, moi-même, j'en fais partie. Et, entre deux, le monde nous préoccupe et nous vivons en fonction de lui, manger le matin, le midi, le soir, dormir la nuit, regarder les infos, établir des raisonnements se rapportant aux moeurs, aux traditions, à l'histoire, aux symboles. Et parfois il gâche sa vie avec tout ceci, ne pensant plus à s'amuser...

Tout cela pour dire, qu'un jour, une fois le baccalauréat en poche, je suis parti. Je suis parti un sac sur le dos et de bonnes chaussures de marche, et, durant trois ans, j'ai marché, j'ai parcouru, non pas le monde, mais l'Europe, à pied. Au départ je voulais me limiter à la France, mais, pour partir à l'aventure autant partir vers l'inconnu. Sans carte, ni boussole, seulement quelques cartes téléphoniques, un sac avec quelques vivres, de l'eau, une tente, une paire de chaussures de rechange, de l'argent liquide et de la bonne volonté...

Je ne sais pas exactement quel fut mon parcours, n'ayant pas de carte, je sais seulement avoir été en Belgique, Luxembourg, Allemagne et la France, peut-être l'Autriche, mais pas très longtemps il me semble. Je ne parlais que le français et l'anglais couramment. Ces trois années m'ont valu de nombreuses expériences aussi bonnes que mauvaises. J'ai été accueilli par de charmantes personnes, rejeté par d'autres, agressé, arrêté, blessé, frôlé la mort à plusieurs reprises, etc.

Mais je suis toujours vivant...

Je ne pourrai pas raconter tout ce périple aujourd'hui, ne pouvant me remémorer exactement et précisément toutes mes aventures dans les minutes qui suivent, mais, au fur et à mesure, je raconterai ce qui me reviendra à l'esprit...

J'ai également appris énormément, sur les personnes, la nature, la société et cela n'a fait que confirmer ce dont je pensais de tout ceci, et j'ai été plus tranquille et heureux lorsque je vivais dans la nature...

Pourquoi n'y suis-je pas resté ?

Parce que j'y étais heureux mais pas comblé, j'étais seul, et ce qui est difficile à dire, les gens (en particulier la gente féminine) me manquaient, et je voulais parler, communiquer, ce qui n'est pas toujours facile avec des animaux sauvages, et il faut avouer que ce n'est pas toujours très confortable là-bas, que voulez-vous j'ai été habitué à un certain confort, et c'est pas toujours facile de se débarrasser de nos manies...

En tout cas, un grand rêve, que dis-je, l'un de mes objectifs serait de trouver une femme, désirant partir avec moi dans une sorte d'ermitage, en pleine nature, où l'on vivra par nos propres moyens, à l'écart de tous et de toutes (peut-être un petit retour de temps en temps à la civilisation pour observer son évolution), mais d'ici là, je profite de cette civilisation, qui me permet tout de même de vivre avec plénitude...


Je me rappelle de ma toute première nuit. je n'avais pas trouvé de logement chez de sympathiques paysans, la plupart m'avait fermé le porte au nez redoutant un malfrat cherchant à les assassiner dans leur sommeil. Puis, j'arrive près d'une dernière ferme, la nuit était déjà tombé depuis un petit moment, le ciel était clair, la lune éclairait mon chemin, je n'étais pas habitué à la longue marche et j'avais des crampes aux pieds, je souffrais, mais je continuais ma route, puis j'arrive donc dans cette ferme, une petite maison en brique, avec un petit hangar en bois, non loin de là. C'est éclairé, et ça bouge à l'intérieur, de l'entrée je pouvais même entendre le son de la télé, je sonne, un homme moustachu, salopette, représentant bien le fermier habituel, mais avec des baskets Nike aux pieds, je lui explique ma situation, et là, sans avoir le temps de finir et sans aucun mot de sa part, il tend le bras vers je ne sais quoi et en ressort avec une carabine, et il me la pointe au visage. Dans ma tête, ça va très vite, je voulais fuir, sauter, me jeter à terre, mais mes jambes étaient trop lourdes pour bouger d'un pouce, je ravalai ma salive, en sueur. En réfléchissant, je me disais, il ne peut pas me tuer, cela lui créerait des problèmes, surtout que je suis innocent, puis l'homme commence à parler, je l'écoute d'une oreille, l'autre ayant trop peur, mes yeux rivés sur le canon, "Tu m'as l'air sincère, va dans la hangar" et il pointa sa carabine vers son hangar en bois, il referma sa porte en me lançant un "Bonne nuit". Avant tout, je reprends mon souffle, puis je m'assieds sur le parapet pendant quelques minutes où je ne pense à rien, je regarde le ciel, et me dis "Il est temps de dormir". Cette nuit-là, ma première nuit, fut déjà mouvementée et remplies de vives émotions et je n'avais jamais senti mon coeur battre aussi vite, pourtant, il battra bien plus vite lors de mon long périple...

Mais cette expérience, m'avait un peu appris quelque chose, que je devais faire face aux situations, ne pas me dérober, ni fuir, car dans tout les cas, on se fait rattraper, enfin je ne sors pas ceci comme une morale, j'y avais déjà réfléchi auparavant mais cette mise en situation m'a permis de mieux réaliser d'assumer pleinement mes actes...

Et de toute façon, une personne qui n'assume pas ses actes, ne s'assume pas elle-même, il vit en contradiction avec lui-même, il regrette tout ce qu'il a fait et perd son temps à regretter or regretter, regarder vers son passé est la pire erreur à ne pas faire, je ne dis pas de refouler son passé, mais de l'assumer, et d'en tirer des conclusions pour mieux appréhender non pas le futur, mais le présent, c'est comme ça que l'on grandi...

Enfant, lorsque nous prenons une rose dans la main pour la première fois, on se pique, mais, plus tard on ne regrette pas d'avoir fait cela car on a compris, grâce à cette expérience, que les roses possèdent des épines et qu'il faut donc faire attention à ne pas se piquer, vous saisissez mon raisonnement ??

Si cela n'est pas le cas, et bien, dommage pour vous, je ne vais pas m'apitoyer sur chacun d'entre vous pour me faire comprendre clairement, c'est à vous de me comprendre, même si j'essaie de faire quelques efforts...

Malheureusement, tout a une fin, et plus particulièrement ce message d'aujourd'hui...

mercredi, décembre 28, 2005

Chute d'un Monde Magique à Travers les Yeux d'un Enfant Maltraité

J'ai tout oublié de ma jeunesse, ou, en tout cas, j'essaie de tout oublier. Car, elle fut difficile ma jeunesse, et rare furent les moments où je souriais et où je me sentais heureux, bien dans ma peau. Je n'étais pas vraiment maltraité, j'étais plutôt peu sûr de moi, je ne faisais confiance en personne et j'avais peur de tout...

Oui, vous savez que ce qui permet à un enfant d'être heureux est qu'il est inconscient, insouciant et qu'il ne voit pas réellement ce qu'est le monde qui l'entoure, pour lui tout est magique, merveilleux et permet de combler son bonheur. Lorsqu'il découvre pour la première fois quelconque animal il est ébahi et émerveillé, lorsqu'il ressent pour la première fois certaines sensations, il est tout ému. Voilà ce qu'est la particularité d'un enfant, il est heureux quelque soit le monde dans lequel il vit, par son insouciance...

Mais, là, vous allez m'interrompre et me parler des gosses qui travaillent dans des usines à confectionner des ballons ou tricoter des chemises durant toute la journée pour ensuite rentrer dans leur bidonvilles ou traîner dans la rue jusqu'à trouver un petit abri pour pouvoir passer la nuit sans risquer de se faire enlever par des rebelles locaux cherchant une main-d'oeuvre peu onéreuse et maltraitable, et là je vous dis que je m'en contrefous pour le moment, que je ne suis pas là pour penser à eux, ni pour avoir pitié d'eux et crier ma révolte contre ces infamies, je suis là pour parler de moi et de ma stupide existence dont je veux faire connaître les moindres détails à vos stupides existences. Et je me compare aux autres enfants stupides possédant une situation stable, et contribuant à l'avenir de leur pays (qui espère voir en eux de grands citoyens contribuant à la richesse de l'état ou tout du moins pour payer ses dettes).

Donc, moi, contrairement aux autres enfants, j'ai rapidement pris conscience de la réalité, et, ensuite a commencé à s'écrouler ce monde, ce monde dont les enfants parviennent à s'en faire un monde idéal, tandis que moi, alors que je pouvais très bien être un enfant comme les autres, et bien moi, j'ai réalisé très rapidement (je ne saurai vous dire quel âge exact mais c'était très précoce) que notre monde n'était qu'une infection incurable et ainsi toute ma jeunesse fut gâchée par des remises en question perpétuelles et des semi-dépressions quotidiennes...

J'avais remarqué à quel point, mon existence serait morne et inutile quoi qui puisse m'arriver, j'en ai donc conclu, après de nombreuses années de réflexion que je devais tout simplement essayer de vivre, vivre pour moi, pour mes plaisirs, vivre ma vie et non celle des autres, ne pas vivre en fonction des autres mais de moi-même...

Ainsi, lorsque l'on tente de cadrer ma vie par certaines règles et quand celles-ci ne m'enchantent guère, et bien, tout simplement, je ne les suis pas, je reste dans mes idées et je fais comme il me plaît...

A quoi cela servirait-il, parce que nous n'avons qu'une seule et unique vie, de gâcher tout notre temps selon le désir d'autrui ?

A rien, tout ceci ne serait que perte de temps...

Ainsi, ma vie est contraire aux vies ordinaire : j'ai passé ma jeunesse à réfléchir sur mon existence, celui des autres et sur notre monde et la société, mais maintenant, adulte, je me décide de vivre dans l'insouciance, dans un monde à moi, dans un monde qui me permettra de vivre heureux...

"Egoïste", me crie-t-on dans les oreilles, "Tu ne penses qu'à toi", et bien oui, et je le dis haut et fort, je le proclame du haut des toits des gratte-ciels pourrissant notre beau ciel bleu et empêchant les oiseaux de voler à leur guise, oui, je vis selon mes désirs, je vis dans mon monde à moi, je vis ma vie...

Comment je vis ? Pourrait-on me poser comme question...

Je pourrai y répondre, mais je ne veux pas, pas pour le moment, je préfère garder encore un peu de mystère sur ma situation professionnelle et sociale, mais ce n'est pas par quel moyen vit-on qui est le plus important, mais, plutôt, la raison de notre vie...

Si, nous ne vivons pour aucune raison, pourquoi vivons-nous dans ce cas ? Autant nous donner la mort puisque vivre nous semble inutile...

Et moi, je vis pour d'innombrables raisons, aussi banales qu'étranges soient-elles...

Mais en tout cas je vis, et je ne perds pas de temps à trouver une réponse à "pourquoi je vis?", en sachant que cela pourrait amener des suppositions métaphysiques dont je m'en contrebalance à un point indéfinissable. Je vis tout simplement et je profite de cette vie...

Pour reparler de ma jeunesse, même si j'ai passé beaucoup de temps à réfléchir, j'ai tout de même vécu, mais, elle ne fut pas spécialement drôle et joyeuse, surtout lorsqu'à l'école ou au collège, les autres enfants s'amusaient et moi non...

Puis est venu le lycée, à partir de cette période, les enfants, maintenant adolescents, atteignent l'âge de la raison, et ainsi, ils parviennent enfin à se questionner eux-mêmes, à réaliser, et à réfléchir proprement...

De mon côté, ma réflexion était déjà bien plus profonde que la leur, trop superficielle, mais je me sentais moins à l'écart (un écart qui auparavant était volontaire), mais maintenant je pouvais m'intégrer et écouter les réactions des autres et peut-être (pas toujours, surtout face à ces optimistes croyant de trop en un monde idéal) partager mes raisonnements...

Le lycée ne fut pas vraiment un si mauvais souvenir, c'était également pour moi, une transition, mais, évidemment inverse aux autres, je commençais à me dire de ne plus trop m'embêter et je me lâchais un peu plus, certains me trouvaient un peu trop gamin par moment, mais c'est compréhensible je n'avais pas réellement eu d'enfance, d'autres me prenaient pour un être anormal, différent, ou même fou, atteint d'une maladie étrange, rare et bizarroïde, peut-être, est-ce vrai, ou peut-être que moi, je me faisais passer pour ce genre de personne, que cela me plaisait d'entendre de tels dires sur ma personne, que j'étais plus heureux que l'on me sache différent des autres, je me distinguais de cette façon, et cela me réjouissait...

Mais bon trêve de bavardages, j'ai d'autres occupations qui m'attendent, ma journée ne fait que commencer, ma vie, est à peine entamée...

En tout cas, je suis content de la réaction de certains lecteurs qui n'attendent que la suite des mes aventures, et je me réjouis à l'avance de rédiger un prochain article...

Bienvenue chez moi

Ceci est mon premier message, je sors tout juste d'un autre monde, un monde imaginaire, j'ai rêvé pendant de longues années, et, aujourd'hui, je me suis enfin réveillé.

Tout n'est pas facile dans la vie, notre parcours est semé d'embûches et c'est cela qui fait que certaines personnes ont un goût acharné pour vivre...

Je me présente, ici, je m'appelle SchyzoBoy, je suis un jeune homme, dans la vingtaine d'années, j'habite en France, pays de la boulangerie et de la fromagerie et de je ne sais quoi dont je me fous éperdument, je suis ici pour raconter ma vie et surtout pour ne pas oublier...

Le problème est que parfois je confonds l'imaginaire et la réalité, mais, je pense bien que c'est cela qui va rendre original mes propos, ainsi tout ce que je raconterai pourra être réel comme totalement ou partiellement imaginaire...

Ce n'est pas une maladie, c'est un choix, c'est un choix que j'ai fait lorsque j'ai réalisé que nous pouvons et devons faire ce qui nous plaît (ceci pourra être sujet à débattre) et c'est ainsi que j'ai décidé de mener ma vie comme je le souhaite, comme je le désire, selon mes envies, mes pulsions et mes goûts...

Certains me connaissent peut-être mais ce n'est que superficiel, oubliez tout ce que vous savez à propos de moi et découvrez une nouvelle personne...

J'espère bien faire connaître ce blog, et que l'on laisse des commentaires sur celui-ci, que je ne reste pas dans l'anonymat, mais je ne veux pas non plus"faire de la pub" ni que l'on vienne sur mon blog pour faire plaisir mais bien que cela soit une envie de la part des lecteurs jusqu'à ce qu'il devienne totalement accro et qu'il ne pense qu'à moi tout au long de leurs journées...

Parfois, je pourrai me contredire moi-même et ce n'est pas gênant, du moment que vous vous amusiez et que vous parveniez à vous poser des questions, sur moi, ou sur quoique ce soit d'autres...

Certains penseront que je ne suis que purement fictif, et ils n'ont pas tout à fait tort, mais, je préfère vous laisser découvrir au fur et à mesure les différents évènements qui vont se produire dans ce lieu virtuel, dans ce monde dont je suis le seul et l'unique maître...

Et j'espère que mon monde vous plaira à vous, les lecteurs, que vous croyez ou non en mes aventures, en mes histoires et mes pensées...

Sur ce, je ne vous souhaite pas une bonne journée, loin de là, car ce ne serait qu'hypocrisie, je ne vous connais pas assez pour me permettre d'avoir des affinités avec vous et je n'en attends pas moins de votre part...